"On ne voit pas les ondes, on ne les sent pas… mais elles font partie de notre quotidien, comme l’air qu’on respire."

Qui suis-je ?

 

Je suis Emmanuel Oroy, consultant professionnel en rayonnements électromagnétiques non ionisants et mon métier est de vous aider sur différentes problématiques liées à cette pollution environnementale.

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Que ce soit pour établir un état des lieux de votre environnement de vie (personnel, professionnel) ou pour​ trouver de nouvelles solutions afin d'optimiser votre bien être, le diagnostic électromagnétique devient aujourd'hui une démarche indispensable pour toute personne ayant conscience des enjeux liés aux pollutions électromagnétiques.

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La prévention passant avant tout par l'information, je propose également des ateliers destinés aussi bien au grand public, aux entreprises ou bien encore les écoles.

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Formé au CRIIREM (Centre de Recherches et d'Information Indépendant sur les Rayonnements Électromagnétiques), j'ai pu approfondir le sujet sous son aspect technique, sanitaire mais aussi législatif grâce à une équipe composée de chercheurs, médecins et techniciens chevronnés. Ma méthode de travail repose donc sur une approche rigoureuse.

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Aujourd'hui, j'ai fait de cette discipline ma spécialité et j'ai à cœur de sensibiliser et informer le public quant aux divers risques de cette pollution omniprésente et grandissante.

 

Je propose également une étude de dossier DIM (dossier d'information mairie). Cette étude permet d'analyser les projets d'installations d'antennes relais téléphoniques et d'établir de manière claire et concrète leurs impacts potentiels sur la population.

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Pourquoi se préoccuper des REM ?

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Les REM (rayonnements électromagnétiques) sont présents partout.

Ceux ci ont fait leur apparition depuis que les réseaux électriques se sont développés à travers le monde.

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Petit à petit, ces rayonnements se sont étendus et ont évolué notamment avec le développement

des technologies utilisant les ondes radioélectriques et hyperfréquences (antennes radio, radars, antennes relais de téléphonie mobile, smartphones, objets connectés...).

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Si avant l'avènement de la téléphonie mobile, notre exposition à ce type d'ondes se limitait à quelques sources extérieures, nous vivons aujourd'hui une véritable révolution technologique qui nous expose toutes et tous sans exception à des sources se trouvant aussi à l'intérieur de nos lieux de vie. La question n'est pas de vivre sans ces évolutions propres à nos sociétés, mais de trouver un équilibre dans l'utilisation de nos divers équipements connectés et électriques à fin de ne pas s'exposer inutilement et de préserver notre bien être.

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Les effets reconnus officiellement à l'heure actuelle, sont les effets dits à court terme ou effets thermiques. Ces effets sont notamment caractérisés par l'apparition de rougeurs ou de brûlures. L'ensemble de la population est protégé de ces effets grâce à des textes légaux, encadrant ainsi les valeurs limites d’exposition (voir textes officiels). 

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Cependant, il a été constaté que d'autres effets pouvaient se manifester à des niveaux d'exposition très inférieurs aux limites légales. Ces effets sont dit à long terme ou non thermiques et se manifestent par de nombreux inconforts potentiellement chroniques (voir ci-dessous). C'est précisément sur ce point que le débat se porte : la reconnaissance officielle des effets à long terme.

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Quand l’environnement électromagnétique est saturé,

notre corps et notre cerveau doivent travailler plus pour s’adapter.*  

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Depuis 2001 et 2011, l'OMS a classé les rayonnements électromagnétiques de basses fréquences (OMS N°136 du 27-06-2001) et les ondes radioélectriques (OMS N°208 du 31-05-2011) comme étant peut-être cancérogènes pour l'homme.

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Ces classements à eux seuls, ne suffiraient-il pas à instaurer un principe de précaution quant à l'utilisation de nos équipements et à notre exposition quotidienne ?

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Malheureusement, à l'heure actuelle, l'information et la sensibilisation font cruellement défaut.

Depuis la fin des années 90 et le début des années 2000, malgré plus de 30 appels officiels, nationaux et internationaux lancés par des scientifiques et des médecins(1), malgré les deux avis de l'OMS, malgré des rapports officiels mettant en garde contre des risques sanitaires (voir textes officiels), malgré des décisions de justice rendues en faveur d'éleveurs(2), les pouvoirs publics ne reconnaissent pas officiellement les effets à long terme et ne proposent pas de plan de prévention pour protéger la population de ces effets.

Pourtant, même si il n'y a pas encore de consensus scientifique, de très nombreuses études tirent la sonnette d'alarme.

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Les éleveurs sont de plus en plus touchés et ont des troupeaux malades(3). Les cas d'électro hypersensibilité chez l'homme se multiplient(4).

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Heureusement, dans nos foyers ou sur nos lieux de travail,  nous avons souvent la possibilité 

de limiter notre exposition assez facilement. Et pour réussir cela, bien souvent, les gestes les plus simples et le bon sens suffisent à nous protéger.

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